Comment affiner la connaissance de soi pour accroître son intelligence relationnelle & émotionnelle ?
Publié par Eugénie Thevenon dans Actualité · 10 Mai 2023
Nous
avons vu dans l’article précédent les grandes lignes de
l’intelligence émotionnelle, les compétences qu’elle sous-tend
et nous avons zoomé sur les différents types d’émotions pour
affiner la lecture de ce qu’il se passe intérieurement en nous.
J’ai aussi partagé avec vous quelques actions à mettre en place
pour améliorer la conscience de soi au niveau émotionnel.
Continuons
dès à présent avec la présentation de quelques outils pour
affiner la connaissance de soi, et avancer vers plus d’intelligence
relationnelle.
L’index
de computation
C’est
une grille de lecture utilisée en PNL qui représente les liens de
causes à effets entre les mécanismes d’expression interne et
externe d’un individu. Les interactions systémiques qui relient
nos pensées à nos émotions à nos comportements. Ce sont des
fonctionnements inconscients très rapides.
- Les processus internes : les croyances (ce que je crois au sujet d’un sujet, les conclusions que j’ai tiré à la suite des expériences que j’ai vécu) les valeurs (ce qui est importants pour moi). Nos pensées : les images, nos représentations internes, notre dialogue intérieur…
- Les émotions : ce que nous ressentons (confère 1ère partie). Voyons les comme des voyants physiologiques qui s’allument pour nous donner des indications sur la satisfaction ou non de nos besoins. Elles nous donnent des repères par rapport à notre grille de valeurs et nos croyances intérieures. Les croyances et les valeurs constituent le squelette de l’identité d’une personne.
- Les comportements : les actions que nous mettons en place, qui sont intimement liés et mus par nos émotions et nos processus internes.
Le
schéma ci-dessous nous montre comment tout ceci est relié :
Les
émotions viennent guider notre pensée. Ainsi, si je me sens triste,
il est tout à fait normal que mon « cerveau » produisent
des pensées en adéquation avec mon état intérieur. Ma météo
intérieure influence directement la couleur de mes pensées et les
comportements que j’adopte.
A
travers les états plaisants et déplaisants qu’elles induisent
physiquement lorsqu’elles émergent dans notre corps, les émotions
nous permettent d’adapter nos comportements lorsque nous sommes en
lien avec nous-même et que nous comprenons les messages qu’elles
délivrent (confère
1ère partie).
Les
pensées que je nourris influencent également directement mes
émotions. Elles sont étroitement liées à mes croyances et mes
valeurs. Elles représentent
ma réalité et non « la réalité ». Ainsi chaque
personne a
un
système de pensées qui diffère du mien et du vôtre.
Mes
pensées sont ce que je me dis au sujet de ce que je vis par rapport
à ce que j’ai appris et ce que je crois. Mon cerveau sélectionne
les informations extérieures qui viennent valider ma carte du monde
intérieure, parce que c’est ce qu’il connait.
La
singularité de la personne
Chaque
personne au cours son développement a une empreinte unique dans
l’expression de sa personnalité. Elle a une vision du monde
évolutive et singulière teintée de sa culture, son éducation, ses
expériences et ses représentations (…).
De ce
fait, ce que l’autre nous dit est l’expression de ce qu’il
ressent, voit, et entend à travers le prisme de ses filtres, de ses
valeurs et de ses croyances. En deux mots « son expérience ».
Dans
cette continuité, ce que nous ressentons pensons et vivons est notre
expérience en lien avec l’angle de vue que nous posons sur une
situation.
C’est l’expression de notre modèle du monde, notre
expérience en somme.
Faire
preuve d’intelligence dans l’interaction :
C’est
s’ouvrir aux différences par un accueil bienveillant et empathique
de notre vérité intérieure et de la vérité intérieure de
l’autre en composant avec les deux.
Si
l’individu en face de moi est en colère, au fond de lui il a
forcément de bonnes raisons. Si je suis en colère, j’ai aussi de
très bonnes raisons.
Cela
implique :
- D’être à l’écoute de son propre vécu et celui de l’autre.
- D’entrer dans une attitude mature et de sortir du jeu de « qui a raison et qui a tort »
- D’entrer dans une attitude curieuse avec une réelle volonté de comprendre ce qu’il se passe pour l’autre en l’aidant à mettre du sens.
Pour
une écoute
active de notre interlocuteur, il importe de se distancier l’espace
d’un instant de son cadre personnel de références pour entrer
progressivement en contact avec celui de l’autre. Se mettre dans
une posture d’accueil de ce qui se vit ici et maintenant.
On
peut voir la rencontre de l’autre comme une forme de tourisme :
« Le
tourisme de l’humain »
Lorsque
je visite un nouveau pays, je découvre sa culture et ses
spécificités à travers sa gastronomie, ses épices, ses couleurs,
ses odeurs, son accent, ses reliefs, son langage… À chaque
rencontre, dans un échange je peux choisir d’enfiler une casquette
de curiosité, et m’ouvrir comme je le ferai en voyage, à la
singularité du paysage de la carte du monde de l’autre.
Lorsqu’une
personne se sent accueillie authentiquement, elle manifeste la
plupart du temps à son tour par réciprocité de la curiosité.
La
contagion émotionnelle
La
contagion émotionnelle est le transfert rapide et inconscient
d’états affectifs d’un individu à un autre. Ce mimétisme est
une composante fondamentale de la proximité sociale pour renforcer
les liens. Il a joué un rôle dans la survie des premiers groupes
humains permettant d’alerter rapidement d’un danger via la
transmission immédiate de la peur aux autres membres du groupe. Ce
processus de résonance émotionnelle est rendu possible grâce aux
neurones-miroirs.
Ainsi
l’état intérieur d’une personne influence l’espace de la
relation et ce de manière très inconsciente par contagion
émotionnelle.
La
qualité de la relation dépend aussi des émotions que nous
partageons, et ce quel que soit l’environnement dans lequel nous
évoluons. Vivre et partager des moments difficiles resserrent les
liens existants et soudent les gens quand le contexte laisse de la
place à chacun. Je pense à certains services de soins difficiles ou
les équipes sont très soudées.
Des
êtres humains qui vont bien notamment sur leur lieu de travail
créeront plus facilement une ambiance groupale agréable d’autant
que les dynamiques relationnelles induites en partie par le
management et l’institution sont saines.
Des
personnes constamment en colère même si elles ont de bonnes raisons
de l’être induisent qu’elles le veulent ou non dans le groupe
une ambiance plus pesante. Un manager envahit par son stress même
s’il fait au mieux pour ne pas le répercuter sur son équipe le
partagera en partie quand même. Quelqu’un de souriant, apportera
du sourire à son entourage.
Quelle
différence ressentez-vous lorsque quelqu’un vous accueille avec un
sourire bienveillant, et à l’inverse froidement en faisant une
tête de six pieds de long ou en étant agacé ?
Allons
encore un peu plus loin. Qu’est-ce que cela change, si vous vous
sentez vous même agacé, triste, déçu et qu’une autre personne
vous accueille de manière bienveillante ?
Imaginez
une infirmière qui rentre dans votre chambre avec le sourire et une
autre qui semble en colère….
Ce
qui est intéressant, c’est que même si je n’ai pas la main mise
sur le comportement et le ressenti de l’autre, je peux influencer
son état interne et sa réceptivité en choisissant de modifier la
posture que j’adopte.
Quelques
pistes introspectives :
Quelles
émotions nourrissez-vous intérieurement au
quotidien ?
Quelles
émotions vivez-vous sur votre lieu professionnel ?
Au
sein de votre équipe de travail ?
L’intelligence
relationnelle par la communication interpersonnelle :
Les
protagonistes de l’interaction sont co-écrivains et
co-responsables de la relation :
- Manager / Collaborateur
- Soignant / Patient
- Parent / Enfant
- Conjoint / Conjoint
- Enseignant / Étudiant
- Instituteur / Écolier
- Institution / Salarié
- Société / citoyen…
Chacun
a une part de responsabilité dans la qualité de la relation.
L’être
humain est ainsi fait qu’il perçoit intuitivement ce qui n’est
pas dit. Ainsi si vous ressentez de l’animosité pour quelqu’un
inconsciemment cette personne le capte d’une manière ou d’une
autre.
Les
voyants émotionnels qui s’allument intérieurement sont souvent en
lien avec nos représentations, nos croyances et nos valeurs.
Plus
les représentations de deux personnes sont éloignées plus il est
peut-être difficile de se lier sur le plan relationnel notamment si
l’espace relationnel n’est pas sécure.
Si
une personne a un schéma d’attachement insécure avec une estime
de soi fragile il est probable que dans la continuité, elle soit
insécurisée par la différence, et que des réflexes de
préservation inconsciente se mettent en place. On peut en citer
quelques-uns : l’hyper-adaptation, la négation de soi, le
rejet de l’autre, une forme de fuite de la relation ou de
l’agressivité voire de l’hyper-contrôle.
Adopter
une posture d’ouverture à l’autre est étroitement lié à une
forme de sécurité intérieure. Si je me sens confiant et que mon
estime de moi est solide, je vais plus facilement faire preuve
d’ouverture
et de curiosité à
la différence.
L’écoute
et la bienveillance sont des leviers puissants pour impacter le champ
relationnel et créer un espace de confiance. Questionner ce qu’il
se passe pour l’autre et l’accompagner à verbaliser est source
d’apaisement de la charge émotionnelle vécue
intérieurement. Une
fois qu’une personne se sent entendue dans son émotion elle est
plus encline à être à l’écoute de l’autre par réciprocité
car elle a retrouvé une forme de disponibilité par la
verbalisation.
Pour
créer le rapport à l’autre
(posture enseignée en PNL qui
favorise le lien de confiance pour créer la relation) la
synchronisation est une méthode facilitante et aidante.
Je
prends le temps d’observer l’autre pour me synchroniser à sa
posture et à ses rythmes (respiration, débit de paroles, volume
sonore, ton…). Lorsque je m’harmonise à son rythme en me
synchronisant à lui, nous nous ressemblons davantage. Inconsciemment
ces ressemblances apportent un espace plus sécure à la relation. La
confiance peut émerger et ouvrir des échanges de meilleure qualité.
L’être humain : un monde perceptif subjectif
Les
êtres humains sont imprégnés de subjectivité et de biais
cognitifs qui peuvent être des obstacles dans la qualité
relationnelle. Je vous propose d’identifier quelques processus
de distorsions qui
font que la relation à l’autre peut être limitée et limitante.
Le
questionnement et l’expression de soi par la mise en mots de nos
vécus et pensées sont une des clés pour clarifier et valider ou
invalider nos scénarios imaginaires intérieurs.
- La lecture de pensées : processus dans lequel nous projetons nos critères personnels et pensons savoir ce que l’autre pense, par pseudo déduction, par analyse, par habitude… Nous créons ainsi des théories imaginaires et fantasques… Qui ne sont que des théories dans la mesure où nous ne sommes pas dans la tête de l’autre et que dans bien des cas nous ne vérifions pas ce que nous imaginons au sujet de ce que l’autre pense…
Questionnement : Mais
qu’est ce qui t’amène à penser ça ?
- Équivalence complexe : créer un lien logique entre deux éléments qui n’en ont pas forcément. Mon chef ne m’a pas dit bonjour, alors il ne m’aime pas.
Questionnement : Qu’est
ce qui prouve ce que tu avances ? Comment sais-tu cela ?
- Présupposition : anticiper de façon imaginaire une situation et/ou un élément implicite pour lui donner du sens.
Exemples :
Excusez-moi
de vous déranger. S’il savait cela, il agirait de cette manière.
Si je lui demande telle chose, il va me dire non.
Questionnement : Et
finalement comment sais-tu cela ?
Intelligence
émotionnelle : en résumé de quoi parlons-nous ?
Nous
parlons d’un ensemble de compétences cognitives, émotionnelles et
relationnelles qui permettent un savoir être pour créer un
équilibre homéostatique dans sa relation à soi et à l’autre à
travers des interactions saines, ouvrant ainsi un champ commun de
création de possibles.
L’intelligence
émotionnelle augmente le leadership.
Être
intelligent émotionnellement :
- C’est savoir communiquer. Avoir une fine lecture intérieure de ce qui nous anime et une mise en mouvement vers l’extérieur à travers la juste mélodie des mots. C’est transformer ses émotions, ses pensées en mots et les communiquer sainement avec assertivité.
- C’est savoir se remettre en question et reconnaître lorsque l’on se trompe. L’erreur fait partie intégrante du processus d’apprentissage. L’enfant avant de réussir à marcher tombe à de multiples reprises, et il progresse avec chaque chute. Lorsqu’elle est mise à profit de manière constructive, l’erreur est un puissant levier de performance.
- C’est prendre ses responsabilités dans une situation donnée.
- C’est aussi savoir dire non et choisir.
- Être authentique et créer la confiance.
- Incarner ce que l’on dit, pour pouvoir inspirer et influencer positivement les autres. Imaginez-vous allez chez le dentiste et que celui-ci ait une dentition noire et complètement cariée… Allez-vous vous sentir à l’aise en confiance et en sécurité pour lui confier votre bouche ?
- Rayonner ce que l’on est, et le partager.
Ces
qualités d’être impliquent
une sécurité intérieure nourrie
par une saine estime de soi, de la confiance, en soi, en l’autre,
et dans le champ des possibles que permet la relation.
La
communication interpersonnelle est un support au lien et à la
qualité de la relation. Ainsi si au cours de son développement
psychoaffectif et de ses expériences de vie une personne n’a pas
développé une sécurité intérieure ou
l’a perdue (pour
diverses raisons),
ou
encore que l’environnement dans lequel elle évolue ne la permet
pas,
elle va être potentiellement limitée dans l’expression
d’elle-même de ses talents et de ses qualités.
Si une personne n’a pas appris l’affirmation de soi saine mais d’autres
stratégies relationnelles adaptatives à son environnement et au
contexte relationnel, dans lequel elle évolue elle peut adopter :
- Des postures de négation de soi et de ses besoins (fuite/soumission abandon de ce qui est important pour soi)
- De la manipulation de l’autre en mettant du flou pour atteindre ses objectifs et répondre à ses besoins sans se soucier de ce que veut l’autre et de ce qui est bon ou pas pour lui.
- De l’agressivité à travers des attitudes d’attaque et une position de domination pour prendre le pouvoir sur l’autre et le soumettre à sa volonté.
Les
conséquences – lorsque l’on sort de situations à caractère
urgent qui nécessitent ces modes relationnels pour préserver sa vie
et son intégrité – sont fâcheuses puisqu’il y a au moins un
perdant dans l’espace relationnel et que la qualité du lien est
abimée.
Zoom
sur l’assertivité :
Origine
et définition
Le
terme « Assertivité » vient du verbe anglais «to assert», qui
signifie affirmer, défendre ses droits, défendre son opinion. Ce
concept est initié aux États Unis par le psychanalyste new-yorkais
Andrew Salter, qui s’inspire des travaux de Pavlov.
Il
est développé en France par Dominique Chalvin et Eric Schuler.
Salter utilise le terme d’extériorisation de soi pour englober
l’expression de toutes les émotions d’un individu dans les
situations courantes de la vie quotidienne.
Pour
Salter la force et la réussite globale d’une personne se
caractérisent
par la facilité avec laquelle elle
s’extériorise dans différentes situations.
Le
concept d’affirmation de soi, appelé encore assertiveness, se
développe au moment de l’après-guerre du Vietnam, avec
l’apparition du concept égalitaire. Les hommes sont égaux, les
relations humaines doivent l’être à leur tour.
Au
départ l’affirmation de soi était utilisée pour des raisons
sociales et politiques. Il s’agissait d’aider les minorités à
se faire entendre. Puis peu à peu, elle s’est étendue dans le
domaine de la santé mentale, en psychothérapie, dans le milieu
médico-social, et professionnel.
L’assertivité
s’apprend, elle concerne tout le monde (parents, enfants,
adolescent, professionnels, cadres, managers, dirigeants…) et est
applicable dans tous les domaines de vie. Elle favorise une
communication efficace dans les groupes sociaux, un réel partage et
à ce titre, s’adresse de manière plus générale à la société.
L’adaptation
sociale est au cœur de l’équilibre de chacun. L’objectif de
l’assertivité est de rendre les rapports humains plus harmonieux,
de respecter l’homme dans son identité. Elle participe ainsi à
l’individuation de l’être, à la libération et au développement
du potentiel humain.
Être
assertif c’est être capable d’utiliser deux qualités :
– l’affirmation
de soi : être capable de se dire de manière authentique
– le
respect d’autrui : prendre l’autre en considération dans son
entier. Cela sous-entend notamment un développement psychologique
mature ou l’altérité existe dans la structure psychique de la
personne, et des compétences d’empathie émotionnelle et
cognitive.
Être
assertif c’est se respecter : être à l’écoute de ses besoins
et de ses limites. C’est s’exprimer directement sans détour,
savoir dire oui quand on pense oui et non quand on pense non. C’est
aussi respecter l’autre dans ses propres droits, désirs, souhaits,
idées, opinions, et accepter que l’autre puisse nous refuser
quelque chose… Cette notion d’équilibre et de respect mutuel des
droits, est gage de rencontres authentiques de qualité dans la
communication interpersonnelle.
L’affirmation
de soi se construit autour d’une égalité entre l’autre et
soi-même. Dans l’espace relationnel, c’est du
« gagnant/gagnant ».
En
conclusion
Nous
parlons ici d’intelligences émotionnelle et relationnelle à une
dimension « interhumaine », élargissons maintenant la
réflexion et ouvrons notre questionnement à un niveau supérieur.
Montons
quelques barreaux de l’échelle, prenons de la hauteur, et
déployons notre vision à la dimension de l’organisation.
L’organisation
aujourd’hui est devenue dans bien des cas une machine à produire
qui doit être performante et rentable quoiqu’il en coûte,
détériorant par ricochets son efficience, sa qualité, sa propre
richesse, les conditions de travail et son personnel.
Et
si penser une organisation intelligente émotionnellement et
humainement commençait par :
-
Retrouver du sens et du bon sens ?
-
Créer de la sécurité dans les espaces professionnels ?
-
Créer de la sécurité dans les espaces relationnels dans les
équipes et avec les hiérarchies ?
-
Remettre l’humain au centre du fonctionnement de l’organisation ?
-
Lui redonner son caractère humain intelligemment sensible avec des
potentialités et aussi des limites, en respectant et en protégeant
son intégrité physique, psychique et émotionnelle ?
-
Le considérer (et ce peu importe la fonction qu’il occupe dans
l’organisation) comme un rouage important indissociable d’un
mécanisme horloger complexe composé de multiples autres pièces
imbriquées les unes aux autres qui compose un « tout bien plus
grand », auquel il est nécessaire de porter attention et de
prendre soin pour le bon fonctionnement et l’épanouissement de ce
« tou(t)(s) bien plus grand » qu’est l’organisation ?
-
En somme un terreau organisationnel intelligemment humain, avec un
cadre sain et des limites établies pour mener à bien ses missions
définies ?
Je
vous remercie pour votre fidélité, au plaisir de vous retrouver
lors d’un prochain article…
Pour
aller plus loin :
- Chalvin Dominique, « L’affirmation de soi, mieux gérer ses relations avec les autres »,
- Cannio Sylviane « Communiquer avec Authenticité et rester vrai » Ed Eyrolles, 2009
- Rogers Carl, « Le développement de la personne »
- Rosenberg Marschall B. « Les mots sont des fenêtres, introduction à la CNV »
- Goleman Daniel « L’intelligence émotionnelle »
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